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Si toi aussi, tu écris un roman…

« Si toi aussi, tu écris un roman… »

J’avais lancé cette discussion sur le forum de BookNode*, il y a deux ans. Le but était de regrouper les anecdotes susceptibles de concerner toutes celles et ceux qui travaillent sur un roman (ou plusieurs). Je cherchais à prouver que même si l’écriture est un acte solitaire, nous ne sommes finalement jamais complètement seuls.
Je dois dire que je ne m’attendais pas à des retours aussi complets. Vous m’avez bluffé ! C’est la raison pour laquelle je dédie cet article à tous les participants, mais aussi à vous, très chers lecteurs. Vous qui, je l’espère, saurez puiser la motivation nécessaire pour persévérer dans votre projet d’écriture, à travers ces témoignages :
Ceux qui sont en préparation de roman :
  • Toi aussi tu écris l’histoire parfaite avec tout ce que tu as toujours cherché dans un bouquin, en vain.
  • Toi aussi tu analyses tes passages favoris dans un livre pour en soulever le mécanisme.
  • Toi aussi quand tu fais un rêve, tu te dis que tu devrais l’écrire.
  • Toi aussi tu as déjà des milliers d’histoires dans ta tête et tu en as tellement que tu n’en écris finalement aucune.
  • Toi aussi, le cahier sur lequel tu écris tes idées ne pourrait être lu par personne d’autre que toi-même.
  • Toi aussi avant de vraiment te lancer, tu as écrit 50 essais que tu as mis à la corbeille.
  • Toi aussi ça fait des années que tu te dis « demain, je m’y mets vraiment », avant d’écrire trois lignes et de tout laisser tomber…
  • Toi aussi tu te dis sans cesse « faut que j’écrive »…
  • Toi non plus tu ne dis à personne que ton rêve est de devenir écrivain.
  • Toi aussi tu rêves que ton histoire soit sur le grand écran alors qu’elle n’est même pas écrite.
  • Toi aussi, à chaque fois que tu as une idée, tu te dis que c’est l’idée du siècle.
  • Toi aussi tu as des milliers d’idées, mais pas assez de temps pour tout rédiger.
Ceux qui sont plongés en pleine rédaction :
  • Toi aussi avant de t’endormir tu imagines certains passages de ton histoire. Et tu enrages le matin, parce que tu ne te souviens plus de rien.
  • Toi aussi, quand tu as fini d’écrire, tu n’es jamais satisfait.
  • Toi aussi tu penses à la couverture avant même d’avoir écrit un chapitre.
  • Toi aussi tu es tellement plongé dans ton monde imaginaire que tu as parfois l’impression de vivre deux vies en parallèle.
  • Toi aussi tu as des idées lumineuses aux endroits les plus incongrus, ce qui donne parfois des catastrophes !
  • Toi non plus tu ne peux pas t’empêcher de noter tout ce qui te passe par la tête au quotidien sur divers post-its, blocs-note… Tout a toujours un rapport avec ton roman !
  • Toi aussi, tu enrages quand l’idée qui t’est venue plusieurs heures avant a disparu de ta tête, évidemment tu avais oublié de la noter.
  • Toi aussi tu as déjà dû trouver la force mentale de t’arracher du lit pour noter une idée, parce que tu n’avais aucun carnet/feuille/papier/téléphone/mouchoir à proximité.
  • Toi aussi tu t’es déjà explosé les yeux en allumant la lumière en peine nuit pour écrire une idée, surgie alors que tu étais sur le point de t’endormir.
  • Toi aussi, tes carnets (ou autre support papier servant à stocker les idées en attente) sont couverts d’écritures partout, parce que quand tu relis la plupart de tes idées tu ne peux pas t’empêcher de rajouter des détails, ce qui en rend la lisibilité… difficile.
  • Toi aussi tu aimes bien replacer des dialogues drôles que tu as vécus dans ton livre.
  • Toi aussi quand tu trouves un élément de ton histoire important et qui implique que tout s’emboîte, tu es tout euphorique.
  • Toi aussi tu ris tout seul en repensant à des passages drôles de ton histoire.
  • Toi aussi tu regardes quelque chose/entends quelque chose, tu réfléchis, tu réfléchis… Jusqu’à trouver des tas d’idées à insérer à ton roman.
  • Toi aussi quand tu t’ennuies, tu réfléchis à tes personnages et à la suite de ton roman.
  • Toi aussi, tu te crées une playlist qui colle parfaitement avec ta lecture ou l’histoire que tu écris.
  • Toi aussi, quand tu écoutes une musique que tu adores, tu cherches à l’intégrer dans ton roman. Et tu imagines que ça rendrait très bien dans son adaptation cinématographique !
  • Toi aussi il t’arrive de chercher la bonne musique (pour t’accompagner dans ton écriture) pendant une demi-heure et qu’au final, ta scène est tellement précise que tu décides d’écrire dans le silence.
  • Toi aussi, ton ou ta chérie te dit « vivement que ton livre soit terminé ».
  • Toi aussi, tu détestes que quelqu’un vienne lire par-dessus ton épaule ce que tu écris en faisant des commentaires alors même que le livre n’est pas terminé.
  • Toi aussi tu es incapable d’écrire s’il y a quelqu’un qui rôde dans la pièce.
  • Toi aussi tu détestes lire ou, horreur suprême, que quelqu’un d’autre lise ce que tu as écrit à voix haute.
  • Toi aussi, tu te retrouves en retard à un rendez-vous, car tu étais trop absorbée par l’écriture.
  • Toi aussi tu as déjà dû brancher ton ordi en catastrophe, parce que tu n’avais pas vu le temps passer et que ta batterie est à plat.
  • Toi aussi tu es beaucoup plus inspiré(e) quand tu écris des scènes d’action que des descriptions, et que si pour les premières tu vas super vite en te sentant euphorique pour les deuxièmes tu pourrais manger ton clavier tellement ça bloque.
  • Toi aussi tu souffres un peu de déformation professionnelle puisque quand tu viens de dire une phrase qui ne te convient pas trop, tu ne peux pas t’empêcher de la corriger, quitte à interrompre ton interlocuteur qui continuait la conversation.
  • Toi aussi quand tu lis certains livres tu te dis « Il m’a piqué mon idée ! » alors que l’auteur l’a sûrement eu avant toi.
  • Toi aussi tu te mets en colère quand tu vois un livre qui ressemble à celui que tu écris…
  • Toi aussi tu ne veux pas lire ton histoire à voix haute de peur que quelqu’un l’entende et te prenne ton idée.
  • Toi aussi quand tu es en panne d’inspiration tu écris une phrase médiocre et à-côté tu déposes un « à revoir ! », ou tu le surlignes en rouge.
  • Toi aussi tu as honte de parler de ton histoire, mais en même temps, ça te fait jubiler.
  • Toi aussi tu te demandes si ce que tu écris en vaut la peine…
  • Toi aussi tu ne vois pas le monde qui t’entoure quand tu penses à la suite de ton histoire.
  • Toi aussi tu oublies de manger, dormir ou sortir, parce que tu écris.
  • Toi aussi tu te repasses dans ta tête des millions de fois une même scène pour peaufiner jusqu’au froncement de sourcil de tes personnages.
  • Toi aussi tu te demandes pourquoi tu as si longtemps refréné cette envie d’écrire qui dormait en toi…
  • Toi aussi tu ressens un besoin irrépressible de partager ton histoire avec tes proches, même si ton roman n’est pas terminé, même si tu sais qu’il n’est pas recommandé de le faire. C’est plus fort que toi.
  • Toi aussi tu vis ton roman lorsque tu l’écris et tu es embarqué(e) par l’histoire sans voir les heures passer.
  • Toi aussi quand tu vis un moment intense d’inspiration, tu ne te rappelles pas avoir écrit tout ça quand tu te relis le lendemain.
  • Toi aussi quand tu te relis, tu trouves surprenant que ce soit aussi magnifique (ou inversement).
  • Toi aussi tu enrages de buter sur un mot. Tu l’as pourtant toujours sur le bout de la langue !
  • Toi aussi tu passes toute la nuit à réviser le texte d’une scène que tu trouves génial, et le lendemain quand tu l’écris, tu es finalement déçu.
  • Toi aussi quand on te demande de parler de ton roman tu dis « c’est trop compliqué » et ensuite, tu t’en veux toute la journée et tu te racontes l’histoire dans ses moindres détails alors que tu la connais déjà par cœur.
  • Toi aussi tu imagines la suite de ton histoire quand tu es dans des endroits insolites (toilettes, vestiaires en gym, douche, etc.)
  • Toi aussi, tu restes au moins 3 h devant ta page à te demander comment tu vas écrire l’action, sentiments, émotions de ton personnage.
  • Toi aussi, tu relis au moins dix fois ton chapitre pour voir s’il n’est pas trop nul ou pour voir si tu n’as pas oublié quelque chose. Et tu arrives toujours à pinailler.
  • Toi aussi tu as commencé un roman que tu as déjà une autre idée de roman. Voire plusieurs !
  • Toi aussi le dictionnaire des synonymes est ton ami quand tu ne trouves pas ce mot parfait.
  • Toi aussi une de tes raisons de vivre c’est d’écrire.
  • Toi aussi tu écris pour toi.
  • Toi aussi, quand tu relis tes vieux textes, tu ne peux pas t’empêcher de rigoler parce que t’estimes ça tout pourri.
  • Toi aussi tu vas parfois voir des conseils sur internet comme au début puis que tu te juges trop avancé pour ça et que tu t’en occupes plus.
  • Toi aussi, en relisant tes premiers livres ou tes préférés ou en visionnant à nouveau tes films, t’es choquée des sources d’inspiration, alors qu’elles sont souvent minimes.
  • Toi aussi quand tu es pressé d’écrire un passage précis de ton histoire, à l’idée d’écrire ce qu’il doit y avoir avant, tu déprimes !
  • Toi aussi tu as hâte d’être dans ton lit ou dans ta voiture pour pouvoir penser.
  • Toi aussi, tu as trois mille romans en cours d’écriture et tu arrives tout de même à trouver de nouvelles histoires.
  • Toi aussi, tu modifies très souvent les titres de tes romans, car ils ne te plaisent plus ou ce ne sont tout simplement pas crédibles !
  • Toi aussi tu barres et rebarres des choses, pour finalement remettre sensiblement la même chose.
  • Toi aussi, quand tu relis ce que tu as écrit la veille, tu trouves le nombre de fautes d’étourderie aberrant ! Tu te donnerais des gifles.
  • Toi aussi, tu mimes les actions, notamment les scènes de combat afin de mieux les écrire.
  • Toi non plus tu n’aimes pas quand on te dérange pendant que tu écris.
  • Toi aussi tu as plus d’idées quand t’es déprimé et généralement, ce n’est pas très bon pour tes personnages.
  • Toi aussi ton idée consiste en un début et une fin et… un gros trou au milieu.
  • Toi aussi tu imagines comment tu décrirais la scène que tu es réellement en train de vivre.
  • Toi aussi tu aimerais vivre dans le monde que tu as créé même si tu sais qu’il est imaginaire.
  • Toi aussi quand t’es en pleine discussion sérieuse avec quelqu’un t’as une illumination pour faire avancer ton histoire.
  • Toi aussi, tu as plusieurs idées de fin et tu ne sais laquelle choisir.
  • Toi aussi tu t’imagines toute l’histoire du volume deux avant d’avoir trouvé celle du un.
  • Toi aussi, depuis que tu écris, tu deviens de plus en plus exigent dans tes choix de lecture. Tu ne supportes plus les longueurs et les clichés, par exemple. Et tu te dis que ton histoire vaut beaucoup plus le coup.
  • Toi aussi quand tu lis tous ces « Toi aussi… » tu as envie de te jeter sur ton roman pour le finir, car tu ne t’es jamais senti aussi encouragé.
À propos de vos personnages fictifs :
  • Toi aussi il t’arrive de penser : « c’est exactement le même tempérament/le même physique/la même histoire/le même destin/etc., que l’un de mes personnages »… et d’en rire tout seul… Tout a toujours un rapport avec tes personnages !
  • Toi aussi tu passes trois heures sur internet rien que pour trouver une idée de prénom originale.
  • Toi aussi tu connais tes personnages mieux que toi-même.
  • Toi aussi il t’arrive d’imaginer qu’un des tes personnages est peut-être dans les parages.
  • Toi aussi tu donnes une partie de toi à presque chacun de tes personnages, ce qui fait qu’en les réunissant tous on peut te retrouver entièrement dans ton roman.
  • Toi aussi tes personnages te donnent l’impression d’être de vieux amis.
  • Toi aussi à chaque fois que tu vis quelque chose d’extraordinaire, tu veux le partager avec ton personnage et lui fais vivre la même expérience que toi.
  • Toi aussi tu donnes à ton personnage une histoire que tu aurais aimé vivre.
  • Toi aussi quand tu dois faire un choix, dire quelque chose, faire un geste, tu te demandes ce qu’aurait choisi, dit ou fait ton personnage.
  • Toi aussi tu ne peux t’empêcher de chérir tous tes personnages, même les plus mauvais.
  • Toi aussi quand ton personnage a mal, tu as mal, quand il pleure, tu pleures, quand il rit, tu souris aussi…
  • Toi aussi, comme tu ne sais pas dessiner, tu cherches des images ou des photos de célébrités sur internet pour représenter tes personnages. Voire pire : tu les créé dans des jeux vidéo tels que « les Sims », « GTA » ou « Skyrim ».
  • Toi aussi tu crées les endroits où vivent tes personnages en faisant des plans… (Ou sur les Sims, toujours)
  • Toi aussi tu as déjà cherché des représentations de tes personnages sur internet, peut-être pendant des heures, pour finalement abandonner parce que hormis une bonne migraine, tu n’as rien trouvé de concluant.
  • Toi aussi pour passer le temps tu imagines des conversations hors sujet entre tes personnages.
  • Toi aussi tu t’identifies particulièrement à un personnage de ton livre.
  • Toi non plus tu n’aimes pas quand un proche remarque à partir de quel personnage de votre entourage tu t’es inspiré, lorsqu’il lit ton roman. Que tu l’aies fait exprès ou non.
  • Toi aussi tu pries pour que personne ne publie avant toi une histoire qui ressemble à la tienne.
  • Toi aussi tu râles quand quelqu’un d’autre crée un personnage qui partage d’étranges ressemblances avec le tien.
  • Toi aussi il t’arrive de te faire la réflexion que c’est l’anniversaire de l’un de tes personnages aujourd’hui !
  • Toi aussi tu penses tellement à ton livre que quand tu marques ton nom quelque part, tu te trompes et tu écris celui de ton personnage principal à la place.
  • Toi aussi il t’arrive parfois d’envier un de tes personnages.
  • Toi aussi tu aimerais être à la place de certains de tes personnages.
  • Toi aussi, quand tu regardes un film ou une série, et le physique de l’acteur/l’actrice ressemble à un de tes personnages, tu ne peux pas t’empêcher de l’imaginer interprétant ton personnage.
  • Toi aussi, tu détestes retrouver le même passé d’un personnage que tu avais imaginé dans un autre livre.
  • Toi aussi tu as l’impression de vivre constamment avec ton personnage principal…
  • Toi aussi tu as rencontré quelqu’un qui porte le prénom que tu as INVENTÉ pour un de tes personnages, et tu en es resté(e) complément ébranlé(e).
  • Toi aussi t’aimerais bien mettre certains de tes personnages en couple, mais tu ne peux pas parce que ça n’a aucune logique.
  • Toi aussi t’as beau vénérer chacun de tes personnages, t’en a toujours un que tu ne peux pas encadrer.
  • Toi aussi, tes méchants ont plus la classe que tes héros.
  • Toi aussi quand ton personnage se blesse tu cherches la blessure sur toi.
  • Toi aussi tu te sens endeuillée lorsqu’un de tes personnages meurt. Tu pourras tout imaginer pour le sauvegarder, tu sais pertinemment que pour le bien de ton scénario, ça doit se passer ainsi.
À propos d’édition et promotion :
  • Toi aussi tu as terminé ton roman, et tu ne peux pas t’empêcher de le crier sous tous les toits !
  • Toi aussi tu es tellement content(e) lorsque tu finis ton livre que tu as déjà hâte de le relire.
  • Toi aussi tu penses souvent à ce que ton roman pourrait donner au cinéma.
  • Toi aussi tu fais des conférences dans ta douche sur la façon dont te sont venues ces si brillantes idées.
  • Toi aussi, en voyant le nombre de personnes qui écrivent un roman, tu te dis que le tien ne sera jamais publié.
  • Toi aussi tu détestes quand les gens te disent de changer une phrase « parce qu’on ne comprend pas trop ».
  • Toi aussi, le retour à la réalité est très dur après avoir achevé une histoire.
  • Toi aussi tu imagines la bande-annonce de l’adaptation au cinéma de ton histoire.
  • Toi aussi tu te vois en train de recommander une couverture plutôt qu’une autre à ton éditeur.
  • Toi aussi, en relisant, tu te dis : « C’est moi qui l’ai écrit ? Pas mal du tout ! »
  • Toi aussi tu ris à tes propres blagues lorsque tu relis certains passages de ton histoire.
  • Toi aussi tu as supplié ta famille pendant des mois pour qu’ils lisent ton bouquin. Et tu as stressé quand ils ont cédé en attendant leurs impressions.
  • Toi aussi, après tout ça, tu te dis que tu t’imagines des choses, que ton livre ne sera jamais publié et tu essayes de penser à autre chose. Sans succès.
  • Toi aussi, le premier commentaire que tu as reçu sur BookNode après avoir posté ton début de roman t’a donné des frissons. Ton corps s’est enflammé d’un sentiment que tu n’avais jamais ressenti auparavant… Cette joie emplie de fierté.
  • Toi aussi tes rêves ont évolué depuis quelque temps et tu y vois un livre, avec une jolie couverture attrayante frappée de ton nom…
  • Toi aussi tu as déjà réfléchi quel pourrait être ton « nom de plume ».
  • Toi aussi tu as imprimé ton roman et lorsque tu le tiens tu ressens une immense fierté.
  • Toi aussi, une fois lancée dans l’explication de ta fiction, tu ne peux plus t’arrêter et tu ne peux pas t’empêcher de dévoiler la fin.
  • Toi aussi tu t’imagines à la place des auteurs, en train de faire des dédicaces, dans des salons littéraires.
  • Toi aussi quand tu es dans le rayon livre dans un magasin, tu aimerais trouver le tien avant de te rappeler qu’il est chez toi, au fond du tiroir.
  • Toi aussi quand on te demande un résumé, tu cafouilles parce que c’est organisé que dans ta tête et qu’à l’oral, t’es nul.
  • Toi non plus tu ne supportes pas quand en racontant ton histoire, on te sert la phrase qui tue : « ça me fait penser au film… » « c’est comme dans le livre… » Alors que « ça n’a absolument RIEN À VOIR ! »
  • Toi aussi tu espères que des lecteurs choisiront tes œuvres pour s’évader, un jour…
Si toi aussi tu écris un roman, tu dois te sentir moins seul(e) en lisant toutes ces anecdotes !
J’ai sincèrement été touchée par toutes sortes d’émotions en découvrant vos commentaires, les uns après les autres, en réponse à ce sujet qui me tenait à cœur.
J’aimerais vous remercier personnellement, mais je n’ai accès qu’à vos pseudos BookNode. N’hésitez donc pas à me communiquer votre prénom, votre nom ou votre nom de plume en commentaire à cet article. Je me ferais une joie de vous mettre à l’honneur sur ce blog.
Je trouve ça réellement génial de savoir que nous partageons tous tout un tas d’habitudes loufoques liées à notre passion commune. Ceux qui n’ont pas la chance de connaître cette incroyable expérience qu’est « l’écriture d’un roman » sont peut-être plus sains d’esprit, certes, mais ils passent sans conteste à côté de quelque chose d’intensément puissant.
Si toi aussi, tu t’es reconnu dans la plupart de ces anecdotes, c’est que toi aussi, tu as le potentiel de devenir l’écrivain de demain.
Ne baisse pas les bras, c’est la seule et unique devise.
À présent, au risque de me répéter : Onjoy ton roman !
* BookNode est un club littéraire en ligne, à découvrir absolument !
Voici le lien vers la source de ce sujet ici


Commentaires récents

  • Phaenix
    13 octobre 2016 - 1 h 21 min · Répondre

    J’en rajouterai bien quelques autres !

    Toi aussi, parfois, quand tu inventes des histoires horribles à tes personnages, tu te sens presque coupable.

    Toi aussi, tu as envie de rencontrer tes personnages. Puis tu te rappelles que tu leur a donné une vie horrible et que s’ils te rencontraient ils auraient probablement envie de te massacrer !

    • Marie
      13 octobre 2016 - 1 h 22 min · Répondre

      Excellent ! C’est effectivement ce qui arrive quand on s’implique beaucoup dans notre roman. On a du mal à décrocher, ce qui crée fatalement quelques confusions de ce genre. Tant qu’on en est pas encore à confondre la réalité et ce qu’on écrit, je pense que tout est sous contrôle !

  • CapClaire
    13 octobre 2016 - 1 h 22 min · Répondre

    Je suis carrément d’accord, si mon héroïne me rencontrait elle m’aurait enterré vivante tellement sa vie est pourrie!! Je suis bien contente qu’elle ne soit pas vraie.

  • Phaenix
    13 octobre 2016 - 1 h 22 min · Répondre

    Tant qu’ils restent dans la réalité que je leur ai créé tout va bien. Mais c’est vrai que j’ai tendance à créer des histoires bien horribles à mes personnages. On dit bien que « les gens heureux n’ont pas d’histoire » ! Et que serait un roman sans mésaventures !

    • Marie
      13 octobre 2016 - 1 h 23 min · Répondre

      Ça serait même un joli défi ça !
      « Inventer une histoire heureuse, avec des personnages heureux à qui il n’arrive que de bonnes choses ».
      Et tenter de ne pas ennuyer le lecteur avec ça ! Un véritable casse-tête !

  • Stéphanie Ulmet
    13 octobre 2016 - 1 h 24 min · Répondre

    J’ai découvert et re-découvert des phrases qui m’ont bien fait sourire, et auxquelles je m’identifie, comme c’est le but ! Je suis contente aussi d’avoir retrouvé quelques phrases que j’avais posté sur BookNode… Ça fait bizarre de se dire que des tas de gens font les mêmes choses absurdes que moi (les plans sur les Sims !!). En tout cas, permettre à tout le monde de s’exprimer comme ça était vraiment une bonne idée, je viendrais ici les prochaines fois où je serais en manque de motivation ! Merci !

    • Marie
      13 octobre 2016 - 1 h 24 min · Répondre

      C’est vrai que le coup des Sims, ça m’a scié !
      Merci beaucoup pour ton commentaire Stéphanie ! Sois la bienvenue parmi nous autres fanatiques d’écriture ! A très bientôt !

  • Cléa
    13 octobre 2016 - 1 h 26 min · Répondre

    Salut !
    J’avais participé à ce sujet sur le forum de Booknode et je dois avouer que ça fait quelque chose de retrouver tout ça ^^ je n’avais plus écrit depuis des lustres mais relire tout ça m’a donné envie de me mettre un bon coup de pied au derrière pour recommencer à écrire ! C’est une super idée, en tout cas ! 😉

    • Cléa
      13 octobre 2016 - 1 h 26 min · Répondre

      Et j’ajouterais :

      Toi aussi, tu veux être sérieux alors tu fais des tas de recherches pour que ce soit parfait, mais en fait ça t’énerve parce que tu veux juste passer à l’étape où tu écris.

      • Marie
        13 octobre 2016 - 1 h 26 min · Répondre

        Ça fait plaisir à entendre et à lire en tout cas ! J’espère que tu as donc continué à écrire ! Et que tu ne te sois pas arrêtée au stade des recherches !

  • Coco
    17 mai 2017 - 13 h 50 min · Répondre

    Toi aussi, tu adores imaginer tes personnages souffrir, mais tu l’écris jamais parce que tu te dis que ça devient plus très réaliste…

    Dites-moi que je suis pas la seule…

    Toi aussi, aucun personnage ne peut être plus fort ou avoir plus de pouvoirs que ton héro/ta héroïne…

    Par contre j’ai jamais fait de plans… Soit mes personnages ont des maisons qui ne sont pas détaillées, soit ils vivent chez moi ou chez ma grand-mère ^^

  • girlfolle
    24 juin 2017 - 20 h 03 min · Répondre

    Je me suis trop retrouvé ! Ça m’a fait rire d’imaginer que je ne suis pas là seule a devenir folle de mes propres histoire (même celles pas commencées )

  • Coco
    25 juin 2017 - 16 h 29 min · Répondre

    Aha c’est ça. Il y a tellement de fois où je pense à Féline et Chasseur (ou même Flamme et Marguerite, qui sont des personnages secondaires). Bref, entre écrivains, on se comprend ^^. (que quelqu’un me dise que je ne suis pas la seule à imaginer mes personnages souffrir !)

    Si toi aussi tu cherches à faire quelque chose de scientifiquement possible alors que tu écris une histoire totalement fantasy…

    J’ai déjà dit pourquoi mes végétanes (hommes-plantes) étaient verts et ne mangeaient rien, je sais pas des tonnes de choses, mais ce que je sais, je le met à profit dans mes histoires, ce qui mélange science et fantasy, réalité et fiction.

    Déjà que j’ai décrit ma maison pour y faire vivre mes héros !

  • Laura
    26 juillet 2017 - 22 h 28 min · Répondre

    Toi aussi tu as imprimé ton roman au format livre, juste une fois pour le tenir entre tes mains et voir ce que ça donnerait et que tu as ressenti ce truc,entre fierté et appréhension…

  • Ote
    12 août 2017 - 11 h 19 min · Répondre

    Ouais, clairement, ça fait du bien de lire ça…! Je me sens en effet moins seule, à mon tout début de motivation à peut-être faire un bouquin de ce rêve qui me hante… J’ai la trouille, tu me connais, mais je vais essayer, ok ?

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